Les nouveaux encadrements de l’État sur les parcs éoliens maritimes en France

De nouveaux dispositifs règlementaires ont été mis en place par le ministère de la Transition écologique afin de renforcer les sécurités des voies de circulation maritimes face à l’importance des parcs éoliens en mer. Le préfet maritime a reçu cette notification de la part ministère pas plus tard que le vendredi 25 août dernier. Une mesure qui tient tout son intérêt si l’on sait que la France métropolitaine compte à elle seule, six grands parcs éoliens. Les détails de ces nouveaux dispositifs dans cet article.

Le parc éolien maritime : un grand producteur d’énergie en France

Avec sa population qui augmente à toute vitesse et sa consommation vorace en énergie, la France ne peut plus compter seulement sur les générateurs électriques. Elle a aussi ajouté dans ses producteurs d’énergies les parcs éoliens. Ces champs éoliens sont répartis en « onshore », c’est-à-dire les parcs installés à terre et en « offshore », c’est-à-dire les parcs éoliens gisant en mer. L’éolienne permet de produire de l’énergie électrique grâce à la force cinétique du vent qui se transforme en énergie mécanique. Le gisement éolien de la France ne cesse de s’agrandir. Au classement international, elle est d’ailleurs le deuxième pays producteur d’énergie éolienne après la Grande-Bretagne. C’est pourquoi l’État français a pris des mesures de protection environnementale face à cette industrie grandissante.

Les nouveaux encadrements sur les parcs éoliens maritimes

Les observations faites sur l’exploitation des parcs éoliens implantées en mer, l’État français a décidé de lancer des mesures visant à renforcer la sécurité de l’environnement marin. En effet, les dernières études de cette exploitation ont révélé que cette industrie énergétique implantée en mer représentait des risques potentiels pour la faune marine. En effet, l’installation des parcs éoliens provoque non seulement un trouble de l’écosystème marin, mais nuit aussi à la faune marine. En effet, la sécurité maritime a été renforcée à ces égards pour restreindre les pertes d’espèces marines liées à cette exploitation. Les pêcheurs ont été toujours en opposition à cette installation. Ils déplorent ce système qui a causé la disparition du hareng, du barbet et de la seiche.

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